Le triathlon vu par un triathlète

Crédit photo : Merched Lopez

Malo Sarrazin – 1ère année

À 18 ans, Ethan Cossais a trouvé sa passion : le triathlon. Entre ses études et des entraînements intensifs, cet étudiant parisien consacre son énergie à un sport qui lui apprend autant sur lui-même que sur l’effort et la persévérance. Pour lui, chaque course est une nouvelle chance de se dépasser.

Le triathlon est un sport où chaque seconde compte et où l’équilibre entre trois disciplines natation, cyclisme et course à pied devient un défi.

À la fois un test physique et mental, il demande bien plus qu’une simple préparation athlétique : il exige une bonne gestion de l’effort, une endurance de fer et une capacité à se dépasser. Plus qu’une simple compétition, ce sport incarne une quête personnelle pour repousser ses limites, où chaque athlète, qu’il soit professionnel ou amateur, doit constamment se réinventer pour performer.

C’est dans ce contexte qu’Ethan Cossais, étudiant à Paris, a trouvé sa voie. À 18 ans, ce triathlète a découvert le triathlon un peu par hasard.

Ce sport est devenu, pour lui, bien plus qu’un sport. « Il demande un mental d’acier et enseigne des valeurs essentielles comme l’entraide et la persévérance. Même en cas d’échec, chaque course est une opportunité d’apprendre et de progresser », raconte-t-il.

Sa préparation hebdomadaire est à la hauteur des exigences de la discipline. « Je commence la semaine par trois séances de natation en club. Les fins de semaines sont consacrées à la course à pied, et le week-end, je fais de longues sorties à vélo, parfois jusqu’à 50 kilomètres ». Ces entraînements sont complétés par des sessions de renforcement musculaire pour prévenir les blessures et optimiser la récupération.

Pour lui, comme pour de nombreux triathlètes, ce sport n’est pas seulement une compétition : c’est un moyen d’affirmer sa discipline, de retrouver ses coéquipiers.

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