Entre médias et entreprenariat : Marie-Claude Savard, une carrière inspirante! 

Crédit photo: Marie-Claude Savard

Véronique Gauthier – 1ère année

Marie-Claude Savard, une figure incontournable dans les médias québécois, nous livre son parcours atypique et inspirant. 

« Au départ, je voulais faire carrière en arts plastiques ». Elle a plutôt décidé de poursuivre ses études en histoire et en sciences politiques, et c’est à l’Université de Montréal que des professeurs lui ont fortement suggéré de se tourner vers les communications. Elle s’inscrit alors à un certificat en information et journalisme, et dans le cadre de son parcours, elle fait un stage à CKVL comme recherchiste. Par la suite, elle se retrouve à la météo et ensuite, elle fait ses débuts comme chroniqueuse au sport.   

Parallèlement, Marie-Claude a aussi été propriétaire d’un salon d’esthétique de 2006 à 2008 et d’un restaurant de 2013 à 2015. Elle a aussi animé, à la télévision, différentes émissions. Elle a produit trois documentaires, que l’on peut retrouver sur Crave, écrit trois livres et a ouvert sa maison d’édition pour publier son troisième ouvrage. Finalement, elle a également commercialisé un modèle de collagène marin. « Donc, je me suis entourée d’une équipe pour m’aider à prendre de bonnes décisions, à agir de la bonne manière. C’est important de bien assoir les choses, tu sais. » 

Néanmoins, bien que Marie-Claude veuille rester présente dans les médias, elle pense se tourner davantage vers l’entrepreneuriat. « Mais je pense que je vais devenir de plus en plus cheffe d’entreprise. Au fil des années, il y a beaucoup de gens qui me demandent des conseils de santé, de médico-esthétique, et je me dis, qu’avec les médias sociaux et mon entreprise, je vais aider les femmes à traverser la ménopause, ou des jeunes qui ont des problèmes de santé mentale ». Elle termine en livrant un message aux étudiants en communication : « Ça demande de la rigueur, de l’audace ! Il faut savoir bien écrire et bien parler. Idéalement, parler une deuxième langue. Aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, il y a de la place pour tout le monde ! » 

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